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PrÉSentation

  • : L'univers d'un poète
  • : Il y a deux choses ici-bas qui ont fait couler plus de larmes que les guerres n'ont fait couler de sang, ce sont les mensonges et les promesses que l'on ne respecte pas...
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L'univers d'un poète...

Vous mes ami(e)s fidèles

Bien que virtuels

Souvent sans âge

Et sans visage

   

Qu'importe que vous soyez virtuels

Pour moi vous êtes bien réels

Et vous êtes précieux

A mes yeux

 

  Vous êtes présent à toute heure

Il me suffit d'allumer mon ordinateur

Pour vous retrouver

Publier, converser et partager

   

Je prends tant de plaisir

A vous lire

Que bien souvent

J'en oublie mes tourments

   

Et quand il m'arrive un malheur

Vous me réchauffez le cœur

Et me tendez la main

Pour tentez d'apaiser mon chagrin

  

Vous êtes comme un rayon de soleil

Comme un arc-en-ciel

Et vos mots chaleureux

Me rendent heureux

 

C'est pourquoi j'aimerais en ce jour

Vous rendre hommage à mon tour

Et vous dire combien vous comptez

Et combien vous m'avez manqués…

Peter Pan...

 

 

 

CE PETIT BOUT D'CHOU VOUS INTERDIT DE QUITTER CE BLOG SANS Y LAISSER UNE TRACE DE VOTRE PASSAGE...

 

Archives

AIDEZ FABRICE !

AIDEZ FABRICE !

Fabrice est un petit garçon de 6 ans atteint d'une maladie rare, la leucodystrophie...

Aujourd'hui, il existe une lueur d'espoir pour ce petit garçon et sa famille, de nouveaux essais clinique sont en cours...

MAIS APPAREMMENT, CETTE CHANCE LUI EST POUR L'INSTANT REFUSE SOUS PRETEXTE QU'IL SERAIT TROP VIEUX DE 4 MOIS !!!

Son père à lancé une pétition, je vous serais reconnaissant de prendre 2 minutes de votre temps pour cliquer sur le lien ci-dessous afin de signer cette pétition...

Parlez-en, mettez un article sur votre blog, contactez vos ami(e)s, etc... 

 

AIDEZ NE COUTE RIEN !

 

www.elfe-asso.fr 
 

Merci du fond du coeur à tous et à toutes...

Peter Pan...

7 novembre 2006 2 07 /11 /novembre /2006 09:10

 

 

Etendu
Noyé de poussière
Un enfant fixe le néant
Le front humide entouré d'un turban
Qui dit que Dieu est grand-and

Dans son dos
Mouillé de sueur
On peut voir qu'il n'a pas eu le temps
De comprendre d'où venait la douleur
Qui brise ses tympans

Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas

Petit homme mort au combat
Quel Dieu a pu vouloir ça
Qui peut être fier
De tant de dégats

Et en moi
L'étau se resserre
Quand je vois défiler ces enfants
Aveuglés par des hommes aux vœux pervers
Aux hymnes délirants
Au delà de toutes frontières
Il faut dire à tout esprit naissant
Qu'aucune cause ne vaudra jamais
La mort d'un innocent

Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas

Devant ces feux
De haine
De terre
De sang
J'espère un peu quand même
Oh,
Que l'homme comprenne que l'enfant ne sais pas à quoi il consent

Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas

Petit homme mort au combat
Quel Dieu a pu vouloir ça
Qui peut être fier
De tant de dégats

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30 octobre 2006 1 30 /10 /octobre /2006 22:30

 

 

Vous avez condamné

Un jeune homme enfumé

A séjourner dans une drôle de clinique

Parce qu'on l'avait trouvé

Bizarrement piqué

Le long des bras par de drôles de moustiques.

Monsieur le Président,

Je suis venu devant

Votre cour sans entrave.

Je veux être jugé

Pour tout ce que j'ai fait

Dans ma vie, et c'est grave.

 

{Refrain:}

Je suis un homme dangereux

Pour mes semblables

Je suis un pauvre malheureux

Irresponsable.

 

A quatorze ans déjà

Je fumais le tabac.

Les trafiquants ont des moyens infâmes.

C'est dans les cabinets

Du lycée qu'on disait :

"Si tu fumes pas, tu plairas pas aux femmes."

Alors j'ai commencé,

Alors j'ai continué

Sans que nul ne s'oppose

Et je suis aliéné

Pour toute la journée

Quand je n'ai pas ma dose.

 

{Refrain}

 

Je n'étais pas très gai

Pour aller travailler.

On m'a mené jusqu'au bistrot d'en face,

Celui qui fait fortune

En vendant une à une

Le petite côte qui fait que l' boulot passe.

C'est pas qu'on m'ait poussé,

Mais payer des tournées

Ça fait monter ma cote.

Avoir le foie chagrin,

Dans le pays du vin,

C'est être patriote.

 

{Refrain}

 

Avec tous ces ennuis,

Je ne dors plus la nuit,

Mais à présent, qu'est-ce que cela peut faire ?

Un cachet tous les soirs,

La boîte un peu plus tard,

Je fais bouffer quarante apothicaires.

Ça ne me fait plus rien.

Je dors de moins en moins.

Il se peut que j'en crève.

Tant pis, je continue

Car si je ne dors plus,

Je fais de si beaux rêves.

 

{Refrain}

 

J'en suis à regarder

Tous les soirs la télé.

Pendant une heure, ma vie est supportable.

Je sais pas si ça tue

Mais on s'y habitue

Et ça devient un besoin redoutable.

Je vais mieux quand j'entends

Que l'on dit sur l'écran :

"Tout va bien, rien n'est grave."

Vous voyez où j'en suis :

Un drogué en sursis,

Une loque, une épave.

 

{Refrain}

 

Combien, à votre avis

Sommes-nous d'abrutis,

De sacs à vin, de fumeurs, d'insomniaques,

De marchands de tabac,

De marchands de calva,

De maladifs, de tarés, de maniaques ?

Bouclez donc sur-le-champ,

Monsieur le Président,

Tout ce monde qui sombre.

Si vous ne voulez pas,

Chantez donc avec moi

Que vous êtes du nombre.

 

{Refrain}

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27 octobre 2006 5 27 /10 /octobre /2006 19:58

 

 

On pourra dans les premiers temps
Donner la gosse à tes parents,
Le temps de faire le nécessaire.

Il faut quand même se retourner.
Ça me fait drôle de divorcer,
Mais ça fait rien : je vais m'y faire.

Si tu voyais mon avocat,
Ce qu'il veut me faire dire de toi :
Il ne te trouve pas d'excuses.

Les jolies choses de ma vie,
Il fallait que je les oublie :
Il a fallu que je t'accuse.

Tu garderas l'appartement.
Je passerai de temps en temps,
Quand il n'y aura pas d'école.

Ces jours-là, pour l'après-midi,
Je t'enlèverai Stéphanie.
J'ai toujours été son idole.

Si tu manquais de quoi qu'ce soit,
Tu peux toujours compter sur moi
En attendant que tu travailles.

Je sais que tu peux t'en sortir :
Tu vas me faire le plaisir
De te jeter dans la bataille.

{Refrain:}
Si c'est fichu
Entre nous,
La vie continue
Malgré tout.

Tu sais maintenant c'est passé
Mais au début j'en ai bavé :
Je rêvais presque de vengeance

Evidemment j'étais jaloux
Mon orgueil en a pris un coup
Je refusais de te comprendre.

À présent, ça va beaucoup mieux
Et finalement je suis heureux
Que tu te fasses une vie nouvelle.

Tu pourrais même faire aussi
Un demi-frère à Stéphanie :
Ce serait merveilleux pour elle.

{au refrain}

Les amis vont nous questionner
Certains vont se croire obligés
De nous monter l'un contre l'autre

Ce serait moche d'en arriver
Toi et moi à se détester
Et à se rejeter les fautes.

Alors il faut qu'on ait raison
Car cette fois-ci c'est pour de bon :
C'est parti pour la vie entière.

Regarde-moi bien dans les yeux
Et jure moi que ce s'ra mieux
Qu'il n'y avait rien d'autre à faire

{au refrain}
...Malgré tout

1973

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27 octobre 2006 5 27 /10 /octobre /2006 19:56

 

 

Bien sûr, j'ai d'autres certitudes
J'ai d'autres habitudes
Et d'autres que toi sont venues
Les lèvres tendres, les mains nues
Bien sûr
Bien sûr j'ai murmuré leurs noms
J'ai caressé leur front
Et j'ai partagé leurs frissons.

{Refrain:}
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Je t'aime encore.

Bien sûr, du soir au matin, blême
Depuis j'ai dit : " je t'aime "
Et d'autres que toi sont venues
Marquer leurs dents sur ma peau nue
Bien sûr
Bien sûr pour trouver le repos
J'ai caressé leur peau
Elles m'ont même trouvé beau.

{au Refrain}

Bien sûr j'ai joué de mes armes
J'ai joué de leurs larmes
Entre le bonsoir et l'adieu
Souvent pour rien, souvent par jeu
Bien sûr
Bien sûr, j'ai redit à mi-voix
Tous les mots que pour toi
J'ai dit la première fois.

{au Refrain}
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Jamais encore, je te le jure
Je n'ai pu oublier ton corps
Mais d'aventure en aventure
De train en train, de port en port
Je n'ai pu fermer ma blessure
Parce que je t'aime
Je t'aime encore
Je t'aime encore
Je t'aime encore

1968

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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 08:27

 

 

Tanguer
Comme un bateau qui coule sur une mer déchaînée
Chanter
Retrouver le mystère de mes secrets cachés
Je n'y suis pour personne
Quand je suis dans vos bras
Que la musique nous donne
La vie encore une fois

Et j'ai besoin de vous
Quand la vie m'abandonne
Quand les soirs monotones
Me font douter de tout
Et j'ai besoin de vous
C'est à vous que je donne
Seuls les sages et les fous
N'ont besoin de personne
J'ai besoin de vous

Et j'ai besoin de vous
Comme d'une passion cachée
Comme des mots qui nous donnent
Des raisons d'exister
Et j'ai besoin de vous
Comme d'un amour secret
Qui me demande tout
Et qui me reconnaît
Comme j'ai besoin de vous

Et j'ai besoin de vous
Quand mon âme m'abandonne
Quand les tambours résonnent
Et tournent autour de nous
Et j'ai besoin de vous
C'est à vous que je donne
Seuls les sages et les fous
N'ont besoin de personne
Moi j'ai besoin de vous

Comme j'ai besoin de vous
Moi j'ai besoin de vous

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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 08:25

 

 

Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi tout bas
Tu es à six heures de moi
Je suis à des années de toi
C'est ça être là-bas.

La différence
C'est ce silence
Parfois au fond de moi.
Tu vis toujours au bord de l'eau
Quelquefois dans les journaux
Je te vois sur des photos.
Et moi loin de toi
Je vis dans une boite à musique
Electrique et fantastique
Je vis en "chimérique".

La différence,
C'est ce silence
Parfois au fond de moi.
Tu n'es pas toujours la plus belle
Et je te reste infidèle
Mais qui peut dire l'avenir
De nos souvenirs
Oui, j'ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
L'amour c'est fait de ça.

Il était une fois
Toi et moi
N'oublie jamais ça
Toi et moi !

Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi là-bas.
Oui j'ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
Je pense à toi tout bas...

1977

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25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 11:29

 

 

On la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris
Elle croyait qu'on était égaux Lily
Au pays de Voltaire et d'Hugo Lily
Mais pour Debussy en revanche
Il faut deux noires pour une blanche
Ça fait un sacré distinguo
Elle aimait tant la liberté Lily
Elle rêvait de fraternité Lily
Un hôtelier rue Secrétan
Lui a précisé en arrivant
Qu'on ne recevait que des Blancs

Elle a déchargé des cageots Lily
Elle s'est tapé les sales boulots Lily
Elle crie pour vendre des choux-fleurs
Dans la rue ses frères de couleur
L'accompagnent au marteau-piqueur
Et quand on l'appelait Blanche-Neige Lily
Elle se laissait plus prendre au piège Lily
Elle trouvait ça très amusant
Même s'il fallait serrer les dents
Ils auraient été trop contents
Elle aima un beau blond frisé Lily
Qui était tout prêt à l'épouser Lily
Mais la belle-famille lui dit nous
Ne sommes pas racistes pour deux sous
Mais on veut pas de ça chez nous

Elle a essayé l'Amérique Lily
Ce grand pays démocratique Lily
Elle aurait pas cru sans le voir
Que la couleur du désespoir
Là-bas aussi ce fût le noir
Mais dans un meeting à Memphis Lily
Elle a vu Angela Davis Lily
Qui lui dit viens ma petite sœur
En s'unissant on a moins peur
Des loups qui guettent le trappeur
Et c'est pour conjurer sa peur Lily
Qu'elle lève aussi un poing rageur Lily
Au milieu de tous ces gugus
Qui foutent le feu aux autobus
Interdits aux gens de couleur

Mais dans ton combat quotidien Lily
Tu connaîtras un type bien Lily
Et l'enfant qui naîtra un jour
Aura la couleur de l'amour
Contre laquelle on ne peut rien
On la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris.

1977

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25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 11:24

 

 

C'est une puissance invisible
Le choc des mots n'existe pas
Lorsque la force joue la violence et l'égoïsme
Lorsque rien n'est plus fort que ta voix
C'est l'insolence qui prend le rythme
Ma liberté sous leurs doigts

 

Sur des colonnes on me résume
Elle était seule, ils étaient trois
Pourquoi ces gens qui me harponnent et qui me jugent
Ce pouvoir qui limite mes droits ?
Serre dans les yeux ta solitude
Seule toute la haine est ma loi

 

J'accuse les rôles du scénario trop faciles
D'humilier des peaux sensibles
J'accuse les tireurs de poison qui s'agitent
Au fond d'un dégoût tragique

 

Y a pas d'arme qui venge le mal
Qui s'acharne au creux de mes larmes

 

Ils ont dépouillé mes blessures
Avec des regards indiscrets
Comme assoiffés par l'émotion qu'elles leur procurent
Comme un jouet qu'on voudrait bien casser
C'est leur violence qui prend la suite
Comment pouvoir pardonner

 

Cogne, cogne bien plus fort
Défends ta déchirure
Cogne, cogne bien plus fort
Réponds à leur insulte

1989

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24 octobre 2006 2 24 /10 /octobre /2006 09:41

 

 

C'était le mois de février
Ton ventre était bien rond
C'est vrai qu'on l'attendait
On voulait l'appeler Jason

Ce matin-là il faisait froid
J'avais rendez-vous au studio
Et tout en soufflant sur mes doigts
J'disais l'petit s'ra un verseau

{Refrain:}
Avoir un seul enfant de toi
Ça f'sait longtemps que j'attendais
Le voir grandir auprès de toi
C'est le cadeau dont je revais
Qu'il ait ton sourire ton regard
Quand tu te lèves le matin
Avec l'amour et tout l'espoir
Que j'ai quand tu me tiens la main

Et puis on m'a telephoné
Et moi bien sur j'ai tout quitté
Les chœurs, les cuivres et la rythmique
J'dev'nais papa c'était magique

Puis le taxi m'a deposé
Devant la porte de la clinique
Et comme un fou je suis monté
Garçon ou fille c'était critique

{Refrain}

On m'a tendu un paquet d'langes
Dans lequel petit homme dormait
Puis on m'a dit d'une voix étrange
Que c'était tout ce qui m'restait

Tout le monde était très gentil
Et moi je ne comprenais pas
Que dans son cœur y avait la vie
Et qu'dans le tien il faisait froid

{Refrain}

Ça fait dix ans qu't'as fait le vide
Ça fait dix ans qu'tu n'es pas là
C'est le petit homme qui compte mes rides
Il dit qu'il t'aime à travers moi

Personne depuis n'a pris ta place
L'enfant est là et j'l'aime pour deux
Ton image est bien trop vivace
Et c'est bien celle que j'aime le mieux

{Refrain}

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24 octobre 2006 2 24 /10 /octobre /2006 09:39

 

 

Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pourquoi j'existerais.
Pour traîner dans un monde sans toi,
Sans espoir et sans regrets.

Et si tu n'existais pas,
J'essaierais d'inventer l'amour,
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour.
Et qui n'en revient pas.

Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pour qui j'existerais.
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais.

Et si tu n'existais pas,
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu,
J'aurais besoin de toi.

Et si tu n'existais pas,
Dis-moi comment j'existerais.
Je pourrais faire semblant d'être moi,
Mais je ne serais pas vrai.

Et si tu n'existais pas,
Je crois que je l'aurais trouvé,
Le secret de la vie, le pourquoi,
Simplement pour te créer
Et pour te regarder.

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